dimanche 18 mars 2018

#PlanetAuteurs : Tristan Ferré


"Gravitation en Folie douce Majeure"
Avec 

Aujourd'hui, découvrons un auteur
à l'énergie aventurière débordante :
Tristan Ferré

Bonjour Tristan, en quelques mots,
Peux-tu nous dire qui tu es ? 




Qui suis-je ? Difficile à dire… 
Un quart de siècle, 65% campagnard, 35% parisien, auteur discret. J’ai certainement trop de passions : l’écriture, la chanson, le théâtre, la nature, les animaux, et j’en passe. 
D’ailleurs avant d’écrire mon premier roman, j’ai joué dans une comédie musicale, puis j’en ai écrit une autre.
Si on mélange un peu tout ça, ça donne mon premier roman : Le Pacha sans sa Mama, Voyage solitaire en Bolivie. Un roman musical pourrait-on dire, une aventure dans la tête d’un jeune homosexuel, exilé dans la forêt Amazonienne 
pour se reconstruire et vivre ses rêves. 
D’après mes lecteurs, c’est un « voyage initiatique », « une histoire touchante pleine de poésie ».





Après avoir romancé une partie de ma propre vie, je réfléchis encore à bifurquer sur la fiction, ou bien garder poursuivre les aventures de mon personnage ! Ce qui est sûr, c’est que mes prochains récits resteront poétiques et musicaux.
Si vous faites un tour sur mon site, vous découvrirez les chansons qui animent mon roman ! Le meilleur moyen de me suivre ? Ma page Facebook . Le livre est disponible en papier et ebook sur Amazon, et en ebook sur Kobo. A bientôt !


A présent, découvrons l'univers
de Tristan Ferré à travers 
Le jeu des 20 questions :


Votre devise

Une belle leçon de vie : « Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait » de Mark Twain. C’est ma manière un peu plus littéraire de citer Jean-Claude Dusse : « Si tu veux un conseil, oublie que t’as aucune chance ! On sait jamais, sur un malentendu, ça peut passer… »


Un seul détail et tout change, lequel ?
Le sourire : c’est une arme de séduction massive, et le plus fin des diplomates

La couleur qui teinte votre vie
® Devine ¬

Le philosophe qui guide vos pas
J’avoue ne m’être jamais posé la question. En fait, je n’ai pas d’idole ! Ce sont les gens simples qui guident mes pas. Alors sans réfléchir je dirais Pierre Rabhi, dont les idées m’inspirent au quotidien.

À quelle époque auriez-vous aimé vivre ?
Je pense que celle-ci me convient. Elle est bien loin d’être parfaite, mais justement nous arrivons à une période charnière où tout doit être remis en question, et être le témoin (peut-être même l’acteur) de cette transition me plait.

L'odeur qui vous fait chavirer
Le foin, ou mieux encore l’herbe coupée, les sous-bois d’automne. Et quand-même un peu les pâtisseries… 

Le trait de caractère qui vous fait fuir.
Les sceptiques et les pessimistes

Ce qui force votre admiration
Les personnes qui quittent une situation confortable pour changer de projet de vie.

Votre manie inavouable.
J’ai tendance à recouvrir de dessins toute feuille qui s’aventure près de moi. Ronds, carrés, traits dans tous les sens, rien de très artistique…

Le paysage qui vous émeut
Les grands lacs du sud de la Bolivie, et leurs flamants roses… Dans un registre plus personnel, les promenades au bord de l’estuaire de la Gironde : les petits ports, la presqu’île de Talmont, les falaises… 
Un bonheur pour les yeux et pour les poumons !

Le voyage que vous aimeriez faire
La traversée de l’Amazonie, avec le minimum de survie et surtout un dictaphone et un grand carnet à pages blanches (surtout pas de lignes !)

Ce qui vous révolte
La destruction des forêts primaires, les mauvais conducteurs, et les FOTTES D’ORTOGRAFE ! 
(surtout quand elles viennent de moi)

Ce qui vous déstabilise
Les personnes qui n’ont pas de conversation ou pas d’ouverture d’esprit. Je me souviens d’un trajet Tarbes-Paris en covoiturage, à côté d’un chauffeur qui ne m’adressait pas la parole… L’enfer !

Votre source d'inspiration majeure
A égalité : les relations humaines (il y a tant à dire sur le comportement humain, le choix des mots, le langage non-verbal) et la nature (si intelligente, si évoluée, si ingénieuse).
Votre décor idéal d'écriture
Tout sauf un environnement trop technologique ! Pas de télévision et surtout pas d’ordinateur, car j’écris tout sur carnet à feuilles blanches (éventuellement un téléphone pour utiliser un dictaphone quand j’ai une idée de chanson). Pour ce qui est du décor, tout me va, d’ailleurs j’ai écrit le Pacha sans sa Mama sur trois continents différents : dans des refuges d’Amazonie, dans ma chambre en France, sur une plage au Sénégal, sur un banc public, dans une bibliothèque…

Votre plus étonnante rencontre
Un singe nommé Octavio

Votre style d'écriture
Plutôt poétique, souvent un humour au second degré, avec une pointe de sentimental

Si vous pouviez changer une chose dans ce monde
La répartition des richesses : j’ai du mal à imaginer comment vivre avec 1$ par jour…

Un mot magique ?
Merci 

Ce que vous souhaitez véhiculer à travers vos écrits
Il y a toujours de belles choses autour de nous, il suffit de regarder un peu mieux.

L'univers de Tristan Ferré vous a séduit ?
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